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Conair an Bhaird - The Bard's Path
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15 août 2011

Here we go again

Et bien voilà. Ce week end se tenait la seconde et dernière partie de la fête médiévale de Culan, où Lucette et moi nous sommes rendues de bon matin, voiture blindée et radio couinant la sempiternelle chanson de Joyce Jonathan (qui est passée systématiquement à CHACUN de nos voyages vers Culan), nous couinant de concert histoire de narguer le soleil qui brillait déjà fortement samedi matin.

Je ne sais pas comment te dire,
J'aurais peur de tout foutre en l'air, de tout détruiiiire,
Un tas d'idées à mettre au clair,
Depuis longteeeeemps,
Mais j'ai toujours laissé derrière
Mes sentimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeents
Lalala ... Euh ... Merde, c'est pas une voiture de flics, ça ? Tu te rappelles si j'ai mis mon A ??

Je vous laisse imaginer l'étendue des dégâts. D'ailleurs ce n'étais pas une voiture de flics, en fait, mais une saleté de Clio bleue toujours garée au même endroit qui nous faisait peur à chaque fois. Enfin bon, on s'en fout.

Le bilan de cette deuxième session est ... comment dire ... indicible. Je ne crois pas me tromper en disant qu'on s'était attendues à tout sauf à ça. Vraiment. Nous sommes passées sans arrêt de fous rires en profondes déceptions, de prises de becs en longues discussions détendues, de colère bouillante en épuisement un peu désabusé. Une vraie douche écossaise. Je n'ai jamais vu ça. Je sais que vivre en communauté coupés du monde dans une ambiance totalement différente de la vie quotidienne peut souvent créer des tensions, mais je ne pensais pas que certaines personnes puissent faire preuve d'autant de perfidie. Tandis que d'autres se sont avérés d'une gentillesse presque surnaturelle. Du très bon, du très mauvais, pas de juste milieu, que des émotions beaucoup trop fortes pour être gérées correctement, de la fatigue accumulée qui n'arrange rien au scmilblick, bref, nous nous sommes retrouvées le dimanche soir à partir les larmes aux yeux, sans savoir si l'envie de pleurer était dûe à la tristesse, à la colère ou au soulagement.

Côté business, ça a assez bien marché, surtout le samedi, car nous avons eu un temps magnifique (un peu trop chaud parfois, je me suis repliée dans ma salle bien fraîche avec soulagement). Pourtant les choses étaient mal parties : dès le samedi matin, une exposante mécontente voulait utiliser ma salle pour faire attendre le public pour les visites du château (oui ... et du coup, j'aurais dû tirer les cartes à mes clients devant la foule ?) mais heureusement, nous avons pu nous expliquer posément, arriver à un compromis qui nous satisfaisait toutes les deux et même parvenir à une bonne entente. Ouf, j'ai eu chaud. Je n'avais pas envie de supporter un conflit en supplément de celui que je sentais poindre avec le Preux, qui s'est avéré tenir davantage du Gueux, tout compte fait (vous savez ces vieilles histoires sur les crapauds qui se transforment en princes charmants ? Et bien je peux vous dire que dans la vie réelle, c'est tout l'inverse : vous croisez un pseudo prince charmant dont vous n'aviez pas cherché la venue du tout, qui finit par se transformer en véritable crapaud sans que vous ayez eu le temps de comprendre quoi que ce soit). Problèmes de salle réglés, bouilloire mentale encore sifflante, j'avais besoin de me défouler, Lucette aussi. Nous avons donc résolu le souci par la manière forte, en allant parasiter Hervé, notre Arbalétrier (et artiste dans l'âme, soit dit en passant), pour tirer quelques carreaux dans une cible toute fraîche (et en sortant bien évidemment une phrase biiiieeeen ambigüe au passage, "salut Hervé, on peut tirer un coup ? ..." ... *et meeeerde*. Heureusement pour moi, si Lucette s'est aussitôt étranglée de rire, je crois qu'Hervé n'a pas relevé. Ou alors il a eu la délicatesse de faire comme si). Et bien il s'est avéré que j'ai été une vraie bouse. Bon, j'étais à deux doigts de faire un malaise, le campement faisait des grands hoquets dans mon champ de vision et j'avais l'impression de regarder au travers du trou d'un rouleau de sopalin, mais tout de même. Une vraie bouse. Pfff.

L'après-midi a été plus animée, pas mal de clients se sont succédés, dont une consultante très désagréable pour moi, qui venait me voir uniquement pour se moquer de ce que je faisais je crois, en répétant en boucle "de toute façon je n'y crois pas à votre truc". Il faudra qu'on m'explique pourquoi les gens sont prêts à payer pour quelque chose auquel il ne croient pas. J'ai du partager ma salle avec une jeune harpiste, j'étais un peu inquiète au départ (je me disais que tirer les cartes à quelqu'un à côté d'une fille qui jouait de la harpe devant une foule applaudissante allait être aussi facile que boire une tasse de thé au fond d'une piscine pleine), mais heureusement pour moi la jeune demoiselle en question s'est avérée très gentille et concilliante, et nous avons donc partagé la salle, pour qu'elle puisse jouer devant les touristes avant les visites, puis me faire place nette pour les consultations. Bon, ça a tout de même repoussé quelques clients (cinq m'ont dit qu'ils reviendraient mais ne sont pas revenus) mais tant pis, j'ai beaucoup aimé profiter de la harpe pour me détendre un peu (et applaudir la talentueuse musicienne).Je me suis fait un nouvel ami en la personne de Freddy, le bébé faucon crécerelle, à qui j'ai semble-t-il bien plu puisqu'il venait se mettre vers moi dans le coin de sa cage pour me mordiller le doigt et me suivre des yeux. Il m'a tenu compagnie avec brio, me changeant un peu du Preux Gueux qui, cette fois, a joué les hommes invisibles.

Le soir, clients repartis et costumes quittés (avec beaucoup de peine et de fous rires pour celui de Lucette qui avait vraisemblablement décidé de la séquestrer), nous avons donné un coup de main à Damien, notre jardinier-gardien-du-site-homme-à-tout-faire (le malheureux) pour installer les tables pour le banquet, faire un peu de rangement, continuer de papoter un peu, avant de prendre une pause bien méritée pour aller visiter le château en VIP. Damien a été un guide très peu orthodoxe ("bon ben là, c'est les sceaux des gens qui sont venus dans le château ... là c'est le lit du seigneur, mais vous couchez pas dedans, il n'y a pas de matelas, c'est des coups à passer au travers !"), et nous a ouvert les portes des lieux habituellement fermés au public (tour à moitié bombardée sous Napoléon, escaliers de traverse et courtine d'où nous avons frimé sous les yeux ébahis des autres, restés en bas, qui nous regardaient avec effarement déambuler sur le toit du château), tout en nous laissant pas mal de privilèges (Interdiction de toucher ? Mais non, pas du tout. Les gardes-corps ? On oublie. Ce qui n'a pas empêché Lucette de s'entraver dedans en les enjambant) et en nous faisant bien rigoler (en essayant les perruques façon DuGuesclin des mannequins, les heaumes en boîte de conserve, les halebardes ...). Une belle frayeur également en redescendant, où juste après nous avoir dit de faire attention à ne pas tomber, il a simulé une chute dans l'escalier en colimaçon. Deux réactions très opposées de la part de Lucette et de moi : tandis que Lucette, hyper inquiète, se retournait d'un bond, quitte à se faire emporter dans la chute, moi, en bonne survivante, je me suis jetée contre le mur pour ne pas me faire renverser ! Quelle égoïste, quand même (oui, moi aussi je vais me mettre à l'égoïsme tiens. Même à l'égocentrisme. A l'égobésité).

La nuit tombe, le banquet est bien entamé, Damien a du boulot, Lucette et moi rentrons dans nos pénates pour la (courte) nuit. Quelle journée étrange. Demain sera un autre jour ... Ou pas.

Dimanche matin (l'empereur, sa femme et le p'tit princeuh ... pardon), nous voilà reparties, toujours couinant sur Virgin Radio (avec Inna Modja cette fois, ça vole très très haut).

Monsieur Sainte Nitûche prends-moi par la main
Dis-moi des mots d'amûûûûûr, des mots qui me tûûûûûchent
Monsieur Sainte Nitûche, je suis enchantéééée
Monsieur Sainte Nitûche prends-moi par la taille
Caresse-moi l'épaule, le creux de mes reiiins
Monsieur Sainte Nitûche, ravie de te rencontreeeer
Lalalala ... Euh ... C'est une voiture de flics, ça ?
Mais nooooooooooooon, c'est la Clioooooo !

(Je ne sais pas pourquoi, mais cette chansons me fait penser à ma robe en dentelle rouge, tu sais Lucette, celle en deux parties avec l'espèce de nuisette dessous pour ne pas laisser voir les sous-vêtements en transparence ? Peut-être parce que, comme la chanson, elle a un petit côté tralala que j'aime bien tout en sachant pertinemment que c'est affreusement futile)

Ce matin, le temps est franchement pourri, grisou, frisquet, humide-goutte-au-nez-baaah. Tout le monde tire une tronche de vingts pieds de long, courte nuit, mal aux cheveux après le banquet bien arrosé (comme c'est étonnant), temps maussade qui ne donne pas envie de s'arracher de sa couette (la mienne me manque déjà, d'autant que 3h de sommeil, c'était franchement léger. Jake, si tu passes par ici ...). L'un des Preux roupillait (cuvait ?) à la terrasse de la taverne, le nez écrabouillé sur ses gantelets. Evidemment, Lucette et moi avons joué les indifférentes à la morosité ambiante, en chantant des chansons encore plus débiles que celles que crachotaient la radio, faux, évidemment.

Regaaaaaaaaredeuuuuuh
Le jour se lèèèèèèèèveuuuuuuuh
La nuit s'achèèèèèveuuuuuuh
Tu es si beeeeeeelleuuuuuuuuh !
Besoin de rien envie de toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Comme jamais envie de persooooooooooooonneuuuuuuuuuuh
Besoiiiin de rieeeeen, enviiiiie de toiii, enviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie de touhahahahahahahahaaaaaaaa !!!!!

(oui, je sais, les paroles ne sont pas bonnes, on s'en fout, on yaourte si on veut, Peter et Sloane sont depuis longtemps passés à la postérité au point d'être identifiables même avec une réinterprétation merdique à coups de grelots de ceinture)

Oui, je sais. On a un gros souci musical (et mental aussi, probablement. Je crois qu'on régresse de plus en plus). La matiné a été aussi euphorique que la thérapie d'un poireau dépressif, pas l'ombre d'un client (juste une consultation pour moi, avec l'une des membres de la troupe que j'apprécie beaucoup). Sous le crachin breton, avec Damien, je suis allée donner une friandise à Freddy (une souris morte. Oui, c'est une friandise. Que voulez-vous, tout le monde ne raffole pas des chamallows-tagada, apparemment), avant d'aller rejoindre Lucette dans une ambiance aussi chaleureuse qu'un stalagtite islandais. Culan avait des airs de gibet de Montfaucon, ce matin. Les Preux sont allés prendre leur petit déjeuner, froissés comme des mouchoirs en papier, et même le café n'a pas réussi à me réveiller. La journée a été très longue à démarrer, très longue. Un quatrième larron est venu se joindre à Lucette, Damien et moi pour papoter et nous aider à nous retrancher en quatrième vitesse dans l'annexe de la taverne lorsque la pluie nous a chassés. Enfin, quelques clients m'ont pas mal occupée en fin de journée, des consultants très agréables pour lesquels j'ai eu beaucoup de plaisir à travailler. La journée finie, Damien a continué sur sa lancée de guide en nous emmenant dans les jardins (dont il est le maître d'oeuvre, rendons à César ce qui lui appartient), où il nous a expliqué son travail (et il m'a donné plein de fenouil pour mes cochons !) et a ramassé des courgettes (ce qui a donné un échange particulièrement savoureux avec Lucette : "Tu veux la petite courgette ?" "Qu'est-ce que tu veux que j'en fasse, que je me la fourre dans le cul ?". Poésie, poésie ...). Une bonne prise de tête avec le Preux Gueux en revenant (même si tout cela est d'une stupidité navrante, ces deux jours de non-dits, de rumeurs entretenues et de bouderie m'ont mis les nerfs en pelote de barbelés, et je n'avais plus que deux solutions : lui voler dans les plumes pour lui cracher ma bile à la figure, ou lui tirer un carreau d'arbalète dans la moelle épinière. L'ennui, c'est qu'Hervé avait remballé son matériel, je n'avais donc plus le choix).

Bref, nous avons passé la soirée à la taverne avec Damien (qui nous avait cueilli des roses, à Lucette et à moi, pas pour les mêmes raisons, mais avec une attention qui nous a beaucoup touchées. Lucette a été très présente pour moi, mais j'avoue que ça m'a fait plaisir d'avoir un ami sans ambiguité dans cette histoire), avant de nous faire pousser vers la sortie, staff, troupe et exposants confondus, par le propriétaire des lieux, aux alentours de minuit (du coup le tirage de tarot que j'étais en train de faire pour Hervé a été écourté. Et paf, on est dans le noir, "Bon ben ... On va y aller hein. On se fait la bise ? Parle, parle, que je te vise !"). Le départ a été un peu amer, pour Lucette et moi (là encore, pas pour les mêmes raisons, mais pour le même résultat, finalement. Tristesse et regret pour l'une, colère et rancoeur pour l'autre), et le trajet, contrairement à nos habitudes, a été bien silencieux (nous n'avons même pas chanté, c'est pour dire).

Bref, bilan ? Du bon :
* Bilan financier pas mal du tout, et j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à pratiquer la voyance par les tarots dans ce cadre et cette situation. Je suis vraiment contente de constater que j'en suis capable, et que ce vieux rêve est peut-être encore envisageable.
* Malgré une ambiance digne d'une classe d'IUFM (vade retro !!), quelques personnes valaient vraiment le détour (même si je ne m'en était pas rendue compte lors de la première session, puisque je suis définitivement nullissime lorsqu'il s'agit de cerner les gens). Je ne pense pas me tromper en disant que, outre mon Freddy en sucre que j'aimerai d'amour pour l'éternité et au-delà (si si), j'ai pu me faire au moins un ami qui a eu de la considération pour moi sans aucune arrière pensée. Du moins je crois.
* 9ème visite du château, et la sensation d'être une vraie privilégiée en accédant à tous ces coins et recoins secret où presque personne n'a le droit d'aller (maintenant j'ai le droit de dire que je connais Culan comme ma poche de short), avec anecdote savoureuses à la clé.
* J'ai bien envie de me mettre à la harpe (bon, ça, ce n'est peut-être pas un point positif, en fait, au vu de mes finances).

Et du mauvais :
* Les gens sont des abrutis finis. Ils vous font des beaux discours sur la beauté de la vie en groupe, la "seconde famille", mais tout le monde se tire dans les pattes, les rumeurs galopent plus vite qu'un guépard hyperactif, tout le monde casse du sucre sur le dos de tout le monde ... Bref, on avait l'impression que 95% des gens avaient signé un serment d'Hypocrite (oui, je sais, mon humour pourrait fendre un menhir). Et puis les moqueries, franchement ... Une vraie cour de récréation ("Oh tu sais pas quoi ?? Machin a écrit une lettre d'amour à Machine !!" "Nooooon ??" "Siiiii !" "La hooooonte !". Je suis peut-être vieux jeu et je sais que cette histoire ne me concerne pas - mais puisqu'on se mêle de mes affaires, je vais me mêler de celles des autres - mais une lettre d'amour, je ne trouve pas ça pathétique. Au contraire. Après bon, on accepte ou on accepte pas, l'amour ne se commande pas, mais essayer d'être gentil avec un garçon qui fait l'effort d'avouer ses sentiments, ce n'est pas si difficile, si ?)
* Une promesse ? C'est quoi déjà une promesse ? Ah oui, ce ne serait pas ce truc qu'on dit dans le vent et qu'on oublie juste après ?
* Le prix d'entrée était trop cher, aucun de mes ami n'a pu venir. Un seul était prêt à le faire, mais comme je suis une idiote doublée d'une gourde en boîte, je lui ai dit non, par gêne. Et il m'a manqué pendant deux jours. Et je suis une idiote. Et je ne lui ai même pas dit. Parce que je suis une iiiiidiote !
* En fait, je suis une bouse à l'arbalète. Et, inexplicablement, ça m'énerve au plus haut point (pourtant j'ai l'habitude d'être une bouse, après m'être démoli une oreille, une joue et une autre partie de mon anatomie que je me préciserai pas - mais pensez aux Amazones, vous comprendrez peut-être - au tir à l'arc, je peux vous dire que mon égo sportif est plutôt dans le genre discret). Je ne sais pas, l'arbalète me tenait à coeur. Pourquoi ? Mon côté sociopathe, sans doute.

J'aurais aimé trouver une conclusion grandiloquente à ce pavé sans photo, mais je vais être honnête : je suis perplexe. Je ne sais plus quoi penser, ni pour moi ni pour les autres. La vie est trop compliquée pour mes neurones primaires. Je crois que vais juste cliquer sur "poster & publier", et rester en bas de la pyramide de Maslow (je laisse le 3ème échelon à ceux qui n'ont pas peur des coups bas, le 4ème aux égocentriques et le 5ème aux utopistes).

Voilà.

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Commentaires
L
Ah mais je parlais du dessin animé de Disney, justement ! Avec le Pégase à crins bleus ^^<br /> <br /> Et oui, je crois en l'astrologie, pas en l'horoscope des magazines (comme si toutes les personnes du même signe allaient vivre la même journée ... et alors la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu ...)<br /> <br /> Je suis heureuse également que tu aies "sauté le pas" ! Et je suis vraiment ravie de parler avec quelqu'un comme toi ;)<br /> <br /> A très bientôt !
N
Oh !<br /> Je m'en vais de ce pas réparer une impardonnable erreur de culture Disney : je me rends compte que je n'ai jamais vu le "film" Hercule, seulement le dessin animé !<br /> Ce n'est pas que je sois une fanatique de Disney, mais j'aimerais voir les images qui correspondent à la citation (histoire de m'endormir moins bête)!<br /> <br /> Je prends mon courage à deux mains et fais abstinence de citation pour ce message, afin de ne pas tomber plus bas que terre (ce serait risquer de finir par associer, par exemple, Bouddha et une chanson paillarde !).<br /> <br /> C'est vraiment bizarre de voir comme parfois certaines personnes sont vraiment proches de ce que décrivent leur thème astral tandis que d'autres sont l'opposé de la définition qu'en avait fait l'astrologie...<br /> C'est un avantage d'être proche de sa "définition astrologique", ça permet de mieux se connaître...<br /> En tout cas, ce caractère est un atout pour avancer dans notre monde un peu "fou" !<br /> <br /> Je suis heureuse d'avoir enfin osé poster des commentaires !<br /> Ce fut difficile au début, mais cela devient de plus en plus naturel, en fait !<br /> J'ai d'ailleurs même osé envoyer le formulaire d'inscription pour la Table Ronde ! <br /> C'est un pas de géant anabolisé dans le combat contre la timidité !<br /> <br /> J'espère moi aussi que nous pourrons poursuivre ces échanges qui sont vraiment riches et intéressants ! <br /> <br /> Merci beaucoup pour ta gentillesse ! C'est très rassurant !<br /> <br /> Nobara
T
jsuis une spécialiste de la grasse attitioude !
L
Nobara :<br /> <br /> "Tourbillon de vie et d'émotion qui ne ressent pas les choses à moitié" ... Oh oui ^^ Et effectivement, quand ça pète, ça pète bien (j'en connais un qui doit encore en avoir les oreilles qui bourdonnent).<br /> <br /> Cela dit, heureusement, même si on me fait du mal facilement, je me relève tout aussi facilement. Comme le disait si justement Megara dans Hercule (oui, effectivement, les citations sont en chute libre, arg, comment aller de Gandhi à Disney en passant par Gaston ...) : "c'est de l'histoire ancienne, je jette, j'enchaîne !"<br /> <br /> Je suis ravie en tout cas que le pas de la timidité soit franchi, car tes messages me laissent présager de bons échanges ! Donc oui, n'hésite pas à signaler ton passage un peu partout, je reçois toujours les commentaires avec beaucoup de plaisir !<br /> <br /> <br /> <br /> Lucette :<br /> <br /> Ah oui, 19 ans et demi, ça ne nous rajeunit pas ... <br /> Et les vannes bien grasses, c'est efficace comme jamais.
T
wooouuuuw (avec un peu de retard) Je suis tûchée ! et oui bientôt 20 ! c'est la seule chose que je sais faire quand quelqu'un pleur ou est triste .. quand je vois que si je sors un truque sérieux ça va être pire ... je sort un truque bien gras ou une vanne toute pourri .. ou alors un truque bien méchant .. et ça marche ! (en générale mdr)
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